Il y a quelques années, j’ai assisté à une conférence d’Alexandre Gérard le patron de Chronoflex, une entreprise de 260 salariés près de Nantes.
Alexandre Gérard racontait le sauvetage de son entreprise de 260 salariés après la baisse brutale de son chiffre d’affaires en 2009, passant de 22 à 14 millions d’euros.
Je me souviens de ce patron original expliquant comment il avait pris conscience du carcan de règles et de procédures dans lesquelles il avait enfermé ses collaborateurs. En pensant faire le bien de sa société, il avait tué toute forme de créativité et d’initiatives.
Il a prononcé une phrase qui m’a alors interpellée : « On ne doit pas gérer son entreprise pour les 3 % qui ne respectent pas les règles mais penser aux 97 % ».
Puis il a parlé d’entreprise libérée …
Depuis, j’ai lu les ouvrages de Jean-François Zobrist « la belle histoire de Favi » et d’Isaac Getz « Liberté & Cie » qui détaillent la philosophie de ce mode de management novateur basé sur la confiance, l’écoute et la bienveillance.
Et vous savez quoi ? Ça marche !
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